Les bottines Balmoral – Maison Singulier

Les bottines Balmoral


En fin suiveur de l’actualité des précommandes Singulier, vous vous êtes certainement arrêté sur notre précédent article, celui du polo-coat, en regardant le manteau évidemment, mais également les magnifiques souliers bordeaux de Théo, notre mannequin. Figurez-vous que ces bottines, que l’on appelle des Balmoral, font l’objet de la prochaine précommande que la Maison Singulier est fière de vous proposer.

Balmoral ?

Ces bottines – des chaussures montantes qui serre la cheville – ne datent pas d’hier. Dès le XIXe siècle, elles font leur apparition et connaissent un lancement éclairé sous l’astre de la réticence. Peu appréciées voire rejetées par certains, les Balmoral constituaient presque une hérésie dans les milieux de notables, davantage habitués à porter des souliers bas. Les bottines sont, en fait, créées par inspiration au domaine de l’équitation qui nécessite le port de bottes au lieu de simples chaussures pour enfourcher ledit fidèle destrier.

La particularité de ces bottines si particulières qu'on dénomme des Balmoral, c’est leur bi-matière. Alors que la base, généralement en cuir de veau, rappelle les souliers richelieu, le haut est dans une autre texture. Les Balmoral proposées par Singulier ont deux parties en cuir : un cuir lisse et un cuir grainé.

Voici donc notre interprétation de la Balmoral. 

Un jeu de textures

Cette première texture est de couleur brune et lisse. Elle n’est pas sans rappelée les chaussures basses avec un dégradé de brun, de la teinte intermédiaire à foncée sur les extrémités de la partie basse. La seconde texture est également brune mais plus foncée. D’un cuir grainé, la partie supérieure de la bottine vient contraster avec la partie inférieure. De plus, elle va s’éclaircir au fil des portés et se patiner légèrement. 

Cependant, la caractéristique bi-matières n’a aucun impact sur l’apparence et la versatilité des chaussures. Ainsi, vous pouvez porter ces souliers autant avec un costume dans des situations formelles qu’avec un jeans dans des situations plus casual. De la même façon, arborez-les aussi bien en automne qu’en hiver.

Pas de bagatelles, que du sérieux.

Un inséparable cousu Goodyear

Souliers de qualité obligent, nous avons commencé par le commencement, c’est-à-dire par un cousu Goodyear. Situé au bord de la chaussure, cet assemblage remarquable permet de lier directement la tige du soulier à la semelle.

Un cambrion pour la voûte plantaire.

Souvent qualifié de « colonne vertébrale » du soulier, le cambrion est un élément indispensable pour solidifier la structure globale de la chaussure. Il maintiendra votre dos tout en assurant le confort du pied dans le soulier. En fait, il a pour fonction de venir assurer la correcte cambrure de votre voute plantaire, un game changer pour éviter les pépins de santé.

En plus, après de nombreuses heures de marche, un soulier sans cambrion s’usera beaucoup plus rapidement.

Sous la voute plantaire, nous avons donc installé un cambrion qui renforcera votre chaussure et votre allure, même après de longues heures à réseauter ou à arpenter les rues de votre prochaine destination – nordique – de vacances. Partez tranquille !

Intérieur cuir

L’intérieur, c’est aussi du cuir brun ! Mais un cuir plus clair. L’ensemble de la chaussure reste cohérent mais autorise une touche de clarté à l’intérieur du soulier. Il s’agit d’un cuir naturel de grande qualité.

Semelle discrète

Vous vous souvenez des balmoral bordeaux de Théo ? Et bien on leur fait un petit clin d’œil, puisque la semelle en bois est de couleur burdundy comme on se plait à le dire outre-Atlantique. Mais un bordeaux clair. Restons discret.

Ces chaussures viendront ravir vos prochaines tenues et avec l’hiver qui approche, précommander ces souliers, c’est s’autoriser un hiver les pieds au chaud, avec beaucoup d’élégance.

De Montréal,

Tristan


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